Mampuya - 08.04.2023 - Le congolais reste ce demi intellectuel de toujours. Matata a soulevé des arguments qui concernent, notre passé, notre présent, et notre futur. Maintenant ses déboires judiciaires ont que à avoir avec ses idées. Parceque nous supposons ceci ou cela, il n'a pas droit à la réflexion, et partager ses réflexions avec les autres ? Nous avons déjà eu un parti politique MPR dont les acteurs sont vivants. Nous les avons combattu pour la démocratie. Mobutu n'étant plus là. Tous sont donc devenus démocrates des nos goûts ? Les Kabila arrivent au pouvoir. Même combats, on arrive aux élections, contestées dans les 3 cycles. Les acteurs sont toujours les mêmes avec des académiques en trompettes. Tshilombo arrive au pouvoir, les mêmes acteurs académiques, traversent la frontière pour rejoindre Tshilombo. Vraiment nous trouvons tout cela normal ? Le peuple coréen est le même, au nord et sud. La différence au sud il la démocratie, la rigueur de la pensée. Au nord, c'est la pensée unique, tout un peuple a laissé à la famille Kim la pensée. Dans ce pays, règne misère et pauvreté. Alors pourquoi les congolais doivent avoir en ce moment la pensée, la vision supposée d'un chef, qui a vue naître USN. Donc nous avons tout un peuple, une certaine intelligentsia qui passent le temps à banaliser le mal. À normaliser les bêtises de cette législature. Avec cette législature, nous avons fait des pats en arrière. Cette législature est caractérisé par la destruction, dénaturation, desarticulation,à la création des problèmes. Un simple exemple. La gratuite de l'enseignement tout azimut immédiat. Ne pas une solution à un problème, mais la création des plusieurs équations . L'armée, desarticulation,arrestation des officiers eecc, à la fin sont les armées étrangères à gérer des territoires. Eccc. Alors devant des situations difficiles et dramatiques. Pourquoi les congolais, l'intelligentsia congolaise, ne discute pas la violation systématique des règles démocratiques. Conclusion, n'oublions jamais, discuter les problèmes du pays c'est une chose, mais sur les hommes c'est autre chose.