La Bible place les femmes au cœur du plan de la rédemption, et les Évangiles montrent que, pendant son ministère terrestre, Jésus a agi avec

La Bible place les femmes au cœur du plan de la rédemption, et les Évangiles montrent que, pendant son ministère terrestre, Jésus a agi avec intentionnalité pour répondre à leur besoin de justice et de reconnaissance.

Journée de la femme en gestation dans la Bible
Dans cet optique, je propose de fêter aujourd’hui quelques évènements bibliques où les femmes ont été reconnues et honorées dans leur quête de justice, ces deux besoins humains fondamentaux.

(1) Quand Adam rencontre Ève : un simple coup de foudre ?
Dans le récit de Genèse 2, Adam est face à un problème. Comment remplir la terre ? Pour qui et avec qui cultiver le jardin ? La réponse de Dieu n’est pas de lui donner des « frères d’armes ». Pas de Croc-Blanc ou de Milou pour briser la solitude non plus. Mais lorsque le Créateur lui donne la tâche de nommer animaux et oiseaux, cela implique qu’Adam observera le dimorphisme sexuel de ces espèces.

Va-t-il être fasciné par la naissance de chevreaux, attendri par les soins prodigués par la chèvre à son nouveau-né ? Quel désir sera stimulé en observant les parades nuptiales extravagants de certains oiseaux mâles cherchant à séduire une femelle ? Sera-t-il touché en constatant que la plupart des espèces d’oiseaux (97%) sont monogames à vie ?

Belle leçon de biologie avant de rencontrer « l’amour de sa vie » …

Et lorsque finalement Adam rencontre Ève, il n’est pas déçu ! Il déclare : « Cette fois c’est l’os de mes os, la chair de ma chair. Celle-ci, on l’appellera « femme », car c’est de l’homme qu’elle a été prise. (Gen 2 : 23)

Le déroulement du récit permet à l’auteur de mettre l’accent sur la bonne compréhension d’Adam par rapport à qui elle est : un être de la même nature que lui, le vis-à-vis promis.

C’est bien plus qu’un coup de foudre !

Adam la reconnaît.

Et, loin d’exercer la moindre autorité sur elle, il l’accueille avec une pleine appréciation. C’est le plus simple des besoins, ou des droits : le droit d’exister !

(2) Progrès sociaux : un changement de loi concret
A l’occasion d’un recensement (Nb 26 : 1,2) les cinq filles de Tselophad déplorent le fait qu’en l’absence de fils, le nom de leur père mort au désert tomberait aux oubliettes (Nb 27 : 1 – 11).

Femmes célibataires, sans père, sans mari, qui sont-elles ? Quel est leur statut ? Bien que faisant partie du peuple d’Israël, ayant erré dans le désert, elles sont dépendantes. Ne pouvant pas combattre (en tant que femme), mais (probablement) adultes, c’est comme si elles existaient à peine.

Alors elles se présentent devant Moïse et entament une démarche officielle :

Elles exposent leur situation familiale
Elles lancent un défi à l’ordre établi, la tradition
Elles font une réclamation
Et, comme cela arrive bien souvent à l’égard de sœurs en Christ qui veulent vivre pleinement leur statut en Christ (Gal 3) : on leur fait le reproche d’être des « revendicatrices » …

Eh bien, non… en fait :

Moïse présenta leur cause devant le SEIGNEUR (Nb 27 : 5)

Pas de reproche.
Pas d’interdiction à la parole.
Pas d’étiquette négative collée.

Moïse ne réagit pas en fonction de la tradition ou de ses propres convictions ou de ses propres sentiments : c’est au Seigneur de régler cette affaire. Et malgré les mœurs de l’époque :

Le SEIGNEUR dit à Moïse : Les filles de Tselophad ont raison. Tu leur donneras une propriété comme patrimoine au milieu des frères de leur père, et c’est à elles que tu feras passer le patrimoine de leur père (Nb 27 v : 6,7).

Justice leur est faite.

Et ce n’est pas un jugement exceptionnel, dépendant uniquement de leur audace. Une nouvelle loi pour Israël est créée, applicable dans tous les cas semblables. Ce n’est pas « l’égalité » telle qu’elle peut être comprise dans la loi française d’aujourd’hui, mais cela représente néanmoins un progrès social, un changement concret pour les femmes.

Au-delà de cette loi antique, le texte biblique illumine ce principe fondamental sans lequel reconnaissance et justice sont quasi impossibles : le droit à la parole.

(3) Un « passeport spirituel »
Le statut social des femmes est variable d’un pays à l’autre, malgré les stipulations des Nations Unies. A l’époque du Nouveau Testament, le statut des femmes sous l’Empire romain n’était pas enviable : elles n’étaient pas citoyennes, mais sujette à la volonté du père ou de l’époux, même à sa violence, légitimé par la société.

L’Évangile est venu renverser tout cela : non pas par le moyen d’une revendication politique ou une révolution sociale. L’Église primitive ne pouvait pas faire fi des autorités romaines !

Mais elle pouvait agir en son sein selon des principes égalitaires, principes introduits par Jésus lui-même.

Dans Luc 10, Marie la sœur de Marthe adopta la position du disciple assis aux pieds du maître dans le but exprès d’écouter sa parole. Beaucoup d’hommes et femmes écoutaient Jésus lorsqu’il visitait les synagogues et les villes, des foules le suivaient sur la montagne ou au bord du lac… mais ici, c’est privé. C’est le maître qui instruit son cercle intime.

Marthe, la sœur de Marie lui fait des reproches : ce ne sont pas simplement les hommes qui résistent parfois à des rôles ou activités accordées aux les femmes. Mais Jésus refuse de maintenir ces stéréotypes :

Marie a choisi la bonne part : elle ne lui sera pas retirée (10 : 42b)

Il la reconnait.

Pas simplement en tant que personne, mais en tant que disciple. Jésus défend ici le droit d’apprendre, ce qui permet à une personne de se développer, de se forger des convictions, de devenir autonome.

(4) Combattre des préjugés durables
Le dernier évènement qui mérite d’être fêté concerne la conversation que Jésus a entretenu avec ses disciples au sujet du mariage, en Matthieu 19. Les pharisiens tentent de piéger Jésus sur un point de la loi. Il les ramène à la volonté de Dieu pour le mariage exprimé dans Genèse 2 : 24. Ses interlocuteurs réagissent immédiatement affirmant que Moïse commandait de donner une attestation de rupture lorsqu’un homme répudiait sa femme.

Ne cherchent-ils pas à justifier ici leurs pratiques injustes et conserver leur privilège masculin ? La réponse de Jésus le confirme, allant droit au cœur du problème… littéralement au cœur :

Jésus répondit : « Moïse vous a permis de renvoyer vos femmes parce que vous avez le cœur dur. Mais au commencement, il n’en était pas ainsi. Je vous le déclare : celui qui renvoie sa femme, sauf en cas de débauche, et en épouse une autre, commet un adultère (Mt12 : 8-9)

L’attestation de rupture n’était qu’une mesure temporaire, un moindre mal, qui conservait à une femme répudiée une certaine protection sociale.

Jésus montre que c’est la dureté de leur cœur qui les empêche d’interpréter les Écritures avec justesse… c’est encore le raisonnement circulaire, le serpent qui se mord la queue.

Jésus insiste sur une éthique plus élevée qui reflète mieux le cœur du Créateur. Il défend les femmes contre une application abusive de la loi de Moïse en faveur des plus forts, contre une forme de maltraitance.

Il fait justice.

Ce qui me fait toujours sourire dans cet échange, c’est la réaction révélatrice des disciples de Jésus. Avant de réfléchir sur la portée ses paroles, sur les implications pour leur propre comportement ou vision du mariage, leur exclamation trahit l’état de leur propre cœur, leurs propres préjugés :

Ses disciples lui dirent : Si telle est la condition de l’homme par rapport à la femme, il n’est pas avantageux de se marier (v.10)

C’est une confession explicite de leur propre sentiment de supériorité. (Jésus les choque sans doute encore plus dans la suite de la conversation !)

Le fait d’être disciple de Jésus n’est pas la garantie d’être entièrement libre de la tendance à soi-même dominer. Et ici Jésus affirme le droit non seulement à la sécurité (Moïse) mais aussi au respect.

Chaque jour une journée des femmes dans l’Église de Christ !
Grâce au plan de salut, à l’œuvre de Christ à la croix et dans les cœurs, la domination n’est plus une fatalité ! Nous pouvons nous réjouir du plan biblique pour la réconciliation des hommes et femmes en Christ, et choisir de jouer le rôle que Christ a enseigné à ses disciples :

C’est vous qui êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. On n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais on la met sur le porte-lampe, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. Que votre lumière brille ainsi devant les gens, afin qu’ils voient vos belles œuvres et glorifient votre Père qui est dans les cieux. (Matthieu 5 : 14-16, NBS)

Comment allons-nous porter ce témoignage si pertinent dans notre monde afin de donner espoir aux femmes ET aux hommes qui aspirent à vivre autre chose ?

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Référence : AN1 224 152 Publiée le 08.03.2024 LUBUMBASHI - Lubumbashi 432 vues

La Bible place les femmes au cœur du plan de la rédemption, et les Évangiles montrent que, pendant son ministère terrestre, Jésus a agi avec

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La Bible place les femmes au cœur du plan de la rédemption, et les Évangiles montrent que, pendant son ministère terrestre, Jésus a agi avec intentionnalité pour répondre à leur besoin de justice et de reconnaissance.

Journée de la femme en gestation dans la Bible
Dans cet optique, je propose de fêter aujourd’hui quelques évènements bibliques où les femmes ont été reconnues et honorées dans leur quête de justice, ces deux besoins humains fondamentaux.

(1) Quand Adam rencontre Ève : un simple coup de foudre ?
Dans le récit de Genèse 2, Adam est face à un problème. Comment remplir la terre ? Pour qui et avec qui cultiver le jardin ? La réponse de Dieu n’est pas de lui donner des « frères d’armes ». Pas de Croc-Blanc ou de Milou pour briser la solitude non plus. Mais lorsque le Créateur lui donne la tâche de nommer animaux et oiseaux, cela implique qu’Adam observera le dimorphisme sexuel de ces espèces.

Va-t-il être fasciné par la naissance de chevreaux, attendri par les soins prodigués par la chèvre à son nouveau-né ? Quel désir sera stimulé en observant les parades nuptiales extravagants de certains oiseaux mâles cherchant à séduire une femelle ? Sera-t-il touché en constatant que la plupart des espèces d’oiseaux (97%) sont monogames à vie ?

Belle leçon de biologie avant de rencontrer « l’amour de sa vie » …

Et lorsque finalement Adam rencontre Ève, il n’est pas déçu ! Il déclare : « Cette fois c’est l’os de mes os, la chair de ma chair. Celle-ci, on l’appellera « femme », car c’est de l’homme qu’elle a été prise. (Gen 2 : 23)

Le déroulement du récit permet à l’auteur de mettre l’accent sur la bonne compréhension d’Adam par rapport à qui elle est : un être de la même nature que lui, le vis-à-vis promis.

C’est bien plus qu’un coup de foudre !

Adam la reconnaît.

Et, loin d’exercer la moindre autorité sur elle, il l’accueille avec une pleine appréciation. C’est le plus simple des besoins, ou des droits : le droit d’exister !

(2) Progrès sociaux : un changement de loi concret
A l’occasion d’un recensement (Nb 26 : 1,2) les cinq filles de Tselophad déplorent le fait qu’en l’absence de fils, le nom de leur père mort au désert tomberait aux oubliettes (Nb 27 : 1 – 11).

Femmes célibataires, sans père, sans mari, qui sont-elles ? Quel est leur statut ? Bien que faisant partie du peuple d’Israël, ayant erré dans le désert, elles sont dépendantes. Ne pouvant pas combattre (en tant que femme), mais (probablement) adultes, c’est comme si elles existaient à peine.

Alors elles se présentent devant Moïse et entament une démarche officielle :

Elles exposent leur situation familiale
Elles lancent un défi à l’ordre établi, la tradition
Elles font une réclamation
Et, comme cela arrive bien souvent à l’égard de sœurs en Christ qui veulent vivre pleinement leur statut en Christ (Gal 3) : on leur fait le reproche d’être des « revendicatrices » …

Eh bien, non… en fait :

Moïse présenta leur cause devant le SEIGNEUR (Nb 27 : 5)

Pas de reproche.
Pas d’interdiction à la parole.
Pas d’étiquette négative collée.

Moïse ne réagit pas en fonction de la tradition ou de ses propres convictions ou de ses propres sentiments : c’est au Seigneur de régler cette affaire. Et malgré les mœurs de l’époque :

Le SEIGNEUR dit à Moïse : Les filles de Tselophad ont raison. Tu leur donneras une propriété comme patrimoine au milieu des frères de leur père, et c’est à elles que tu feras passer le patrimoine de leur père (Nb 27 v : 6,7).

Justice leur est faite.

Et ce n’est pas un jugement exceptionnel, dépendant uniquement de leur audace. Une nouvelle loi pour Israël est créée, applicable dans tous les cas semblables. Ce n’est pas « l’égalité » telle qu’elle peut être comprise dans la loi française d’aujourd’hui, mais cela représente néanmoins un progrès social, un changement concret pour les femmes.

Au-delà de cette loi antique, le texte biblique illumine ce principe fondamental sans lequel reconnaissance et justice sont quasi impossibles : le droit à la parole.

(3) Un « passeport spirituel »
Le statut social des femmes est variable d’un pays à l’autre, malgré les stipulations des Nations Unies. A l’époque du Nouveau Testament, le statut des femmes sous l’Empire romain n’était pas enviable : elles n’étaient pas citoyennes, mais sujette à la volonté du père ou de l’époux, même à sa violence, légitimé par la société.

L’Évangile est venu renverser tout cela : non pas par le moyen d’une revendication politique ou une révolution sociale. L’Église primitive ne pouvait pas faire fi des autorités romaines !

Mais elle pouvait agir en son sein selon des principes égalitaires, principes introduits par Jésus lui-même.

Dans Luc 10, Marie la sœur de Marthe adopta la position du disciple assis aux pieds du maître dans le but exprès d’écouter sa parole. Beaucoup d’hommes et femmes écoutaient Jésus lorsqu’il visitait les synagogues et les villes, des foules le suivaient sur la montagne ou au bord du lac… mais ici, c’est privé. C’est le maître qui instruit son cercle intime.

Marthe, la sœur de Marie lui fait des reproches : ce ne sont pas simplement les hommes qui résistent parfois à des rôles ou activités accordées aux les femmes. Mais Jésus refuse de maintenir ces stéréotypes :

Marie a choisi la bonne part : elle ne lui sera pas retirée (10 : 42b)

Il la reconnait.

Pas simplement en tant que personne, mais en tant que disciple. Jésus défend ici le droit d’apprendre, ce qui permet à une personne de se développer, de se forger des convictions, de devenir autonome.

(4) Combattre des préjugés durables
Le dernier évènement qui mérite d’être fêté concerne la conversation que Jésus a entretenu avec ses disciples au sujet du mariage, en Matthieu 19. Les pharisiens tentent de piéger Jésus sur un point de la loi. Il les ramène à la volonté de Dieu pour le mariage exprimé dans Genèse 2 : 24. Ses interlocuteurs réagissent immédiatement affirmant que Moïse commandait de donner une attestation de rupture lorsqu’un homme répudiait sa femme.

Ne cherchent-ils pas à justifier ici leurs pratiques injustes et conserver leur privilège masculin ? La réponse de Jésus le confirme, allant droit au cœur du problème… littéralement au cœur :

Jésus répondit : « Moïse vous a permis de renvoyer vos femmes parce que vous avez le cœur dur. Mais au commencement, il n’en était pas ainsi. Je vous le déclare : celui qui renvoie sa femme, sauf en cas de débauche, et en épouse une autre, commet un adultère (Mt12 : 8-9)

L’attestation de rupture n’était qu’une mesure temporaire, un moindre mal, qui conservait à une femme répudiée une certaine protection sociale.

Jésus montre que c’est la dureté de leur cœur qui les empêche d’interpréter les Écritures avec justesse… c’est encore le raisonnement circulaire, le serpent qui se mord la queue.

Jésus insiste sur une éthique plus élevée qui reflète mieux le cœur du Créateur. Il défend les femmes contre une application abusive de la loi de Moïse en faveur des plus forts, contre une forme de maltraitance.

Il fait justice.

Ce qui me fait toujours sourire dans cet échange, c’est la réaction révélatrice des disciples de Jésus. Avant de réfléchir sur la portée ses paroles, sur les implications pour leur propre comportement ou vision du mariage, leur exclamation trahit l’état de leur propre cœur, leurs propres préjugés :

Ses disciples lui dirent : Si telle est la condition de l’homme par rapport à la femme, il n’est pas avantageux de se marier (v.10)

C’est une confession explicite de leur propre sentiment de supériorité. (Jésus les choque sans doute encore plus dans la suite de la conversation !)

Le fait d’être disciple de Jésus n’est pas la garantie d’être entièrement libre de la tendance à soi-même dominer. Et ici Jésus affirme le droit non seulement à la sécurité (Moïse) mais aussi au respect.

Chaque jour une journée des femmes dans l’Église de Christ !
Grâce au plan de salut, à l’œuvre de Christ à la croix et dans les cœurs, la domination n’est plus une fatalité ! Nous pouvons nous réjouir du plan biblique pour la réconciliation des hommes et femmes en Christ, et choisir de jouer le rôle que Christ a enseigné à ses disciples :

C’est vous qui êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. On n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais on la met sur le porte-lampe, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. Que votre lumière brille ainsi devant les gens, afin qu’ils voient vos belles œuvres et glorifient votre Père qui est dans les cieux. (Matthieu 5 : 14-16, NBS)

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