Provinces
Quatre ans après les massacres qui avaient eu lieu dans le territoire de Yumbi, province de Maï-Ndombe dans le Sud-Ouest de la République démocratique du Congo (RDC), les familles des victimes montent au créneau. Elles dénoncent ces massacres et réclament réparation.
Ces victimes, par la voix de leur président, affirment que plus de 600 personnes avaient été massacrées dans le territoire de Yumbi, le 16 décembre 2018.
"Ici, nous avons voulu rappeler le procureur de la République près la Cour de cassation que le 16 décembre 2018, il y a eu carnages au vrai sens du terme dans le territoire de Yumbi. Il y a eu plusieurs violations des droits de l'homme, des hommes ont été brûlés vifs, plusieurs femmes ont violées... Face à cette situation odieuse, nous avons voulu rappeler que cela fait quatre ans jour pour jour. Cela exige réparation", a déclaré Mirande Mulumba à l'occasion du souvenir de ces massacres célébrés dans la méditation.
Il a, à cette occasion, invité la justice à interpeller les auteurs de ces crimes. Parmi les présumés coupables, les familles des victimes citent aussi Gentiny Ngobila qui était gouverneur de Maï-Ndombe en 2018.
"Notre association avait dénombré plus de 600 cas, des massacres, 200 cas de viol, 50 enfants brutalement envoyés au cimetière...", a-t-il précisé.
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