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En Bolivie, le président Evo Morales a démissionné, dimanche 10 novembre 2019, chassé par la rue et lâché par l'armée. Des scènes de liesse et des violences ont touché la capitale.
Plusieurs résidences de personnalités ont été brûlées et une quinzaine de bus incendiés. La capitale de la Bolivie a connu des violences, dans la nuit du dimanche 10 à lundi 11 novembre. Des destructions qui font suite aux rassemblements qui ont lieu dans les rues de La Paz. Des milliers de personnes sont venues fêter la démission du président Evo Morales. "Je pense que toute la nation bolivienne se sent heureuse, nous avons renversé un dictateur. On a mis fin à un régime de terreur", se réjouit un manifestant.
Les présidents cubain, argentin et vénézuélien dénoncent un coup d'État
Depuis trois semaines et une réélection contestée, des centaines de milliers de manifestants réclamaient le départ de leur dirigeant. Acculé de toute part, lâché par l'armée, Evo Morales, au pouvoir depuis 2006, a annoncé dimanche sa démission. Aussitôt les présidents de gauche cubain, argentin et vénézuélien ont dénoncé un coup d'État. Pour l'heure, personne ne sait où Evo Morales se trouve. Dans le pays, le chaos politique semble s'installer.
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