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Infos congo - Actualités Congo - Premier-BET - 08 avril 2024
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Politique

Majorité-Opposition : l’ONU relance un appel au Dialogue !

2016-07-12
12.07.2016 , Kinshasa
2016-07-12
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http://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2016_actu/juil/du_04_au_10/eliasson_jan_16_002.jpg Kinshasa-

Le Vice-Secrétaire général de l’ONU, Jan Eliasson

La situation politico-sécuritaire de la RDC est suivie et analysée de très près à l’ONU. Le pays court le risque d’une crise grave si un compromis n’est pas trouvé pour organiser les élections dans les délais constitutionnels. Le Vice-Secrétaire général de l’ONU, Jan Eliasson, présente le tableau de ce qui pourrait arriver au pays, à la suite des initiatives unilatérales du pouvoir ou de l’opposition. Il considère le jugement rendu, le 11 mai 2016, par la Cour constitutionnelle à la demande des députés de la Majorité, selon lequel le Président et les membres du Parlement devraient rester en poste jusqu’à l’entrée en fonctions de nouveaux titulaires, comme un élément d’aggravation de la tension. Pourtant, dit-il, le second et dernier mandat du Président Kabila, selon la Constitution en vigueur, s’achève à la fin de l’année.

En l’absence d’un dialogue inclusif, qui pourrait déboucher sur un large accord permettant d’organiser des élections présidentielles et législatives crédibles, Jan Eliasson entrevoit une crise grave, avec une forte probabilité de violences et d’une instabilité persistante. En cas de crise politique et de sécurité majeure, il serait irréaliste d’attendre de la Monusco qu’elle se substitue à l’Etat.

Pour Jan Eliasson, seul un dialogue inclusif entre le Gouvernement de la RDC et l’opposition pourra ouvrir la voie aux élections en novembre prochain

Face aux tensions politiques plus fortes que jamais à l’approche des élections prévues en novembre, le Vice-Secrétaire général de l’ONU, M. Eliasson, a présenté, aujourd’hui devant le Conseil de sécurité, des éléments qui pourraient favoriser le dialogue inclusif et crédible entre la majorité et l’opposition, seul susceptible d’apaiser les tensions et d’ouvrir la voie à un processus électoral transparent et équitable ; éléments dans lesquels la communauté internationale et la Mission de l’Organisation des Nations-Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) jouent un rôle important.

Pour sa part, le représentant de la RDC a reconnu que le dialogue « traîne en longueur » en souhaitant cependant qu’il soit avant tout « l’affaire des Congolais ». Il a par ailleurs contesté les accusations d’un rétrécissement de l’espace de la société civile avant les élections.

M. Eliasson a expliqué être venu au Conseil pour « transmettre les préoccupations du Secrétaire général » sur la situation en RDC. À cette fin, il a largement repris en actualisant les éléments du rapport du Secrétaire général, lequel met l’accent sur la tension politique croissante, doublée d’un rétrécissement de l’espace accordé à la société civile, et constate que le dialogue national proposé par le Président Joseph Kabila pour sortir de l’impasse électorale et désamorcer les tensions politiques « n’a fait aucun progrès » au cours du trimestre écoulé.

Or, dans sa résolution 2277 (2016) du 30 mars dernier, le Conseil de sécurité avait déjà constaté avec une profonde préoccupation les retards dans les préparatifs de l’élection présidentielle. Il avait ainsi souligné crucial que le prochain cycle électoral se déroule de façon pacifique et crédible et avait exprimé sa vive préoccupation face au rétrécissement de l’espace politique dans le pays, tout en rappelant la nécessité d’un dialogue politique ouvert, inclusif pacifique.

Tandis que le second et dernier mandat de M. Kabila -selon la Constitution en vigueur- s’achève à la fin de l’année, fait remarquer le Secrétaire général dans son rapport, « un certain nombre d’autres faits nouveaux ont contribué à tendre le climat politique et à aggraver les divisions entre le Gouvernement congolais et l’opposition ». À cet égard, il cite un jugement rendu le 11 mai par la Cour constitutionnelle à la demande de nombreux membres de l’Assemblée nationale, selon lequel le Président et les membres du Parlement devraient rester en poste jusqu’à l’entrée en fonctions de nouveaux titulaires. Pour le Secrétaire général, un « dialogue crédible et sans exclusive entre les parties prenantes concernées reste le seul moyen viable de faire face aux retards escomptés dans les élections présidentielle et législatives et de prévenir l’instabilité politique et la violence, si elles n’ont pas lieu en novembre ».

Comme l’a expliqué M. Eliasson, le dialogue proposé par le Président Kabila est toujours dans l’incertitude. La majorité et l’opposition ont exprimé un soutien de principe à un tel dialogue mais il n’existe toujours pas d’accord sur les conditions de ce dernier, ni sur les participants.

Le Président Kabila a, en effet, réaffirmé la nécessité d’un tel dialogue lors de son message à la nation, le 30 juin, et a exhorté le Facilitateur nommé par l’Union africaine, début avril, l’ancien Premier ministre du Togo Edem Kodjo, de prendre des mesures pour rendre ce dialogue possible. Toutefois, des membres éminents de l’opposition continuent d’exprimer des réserves, au motif que ce dialogue pourrait aboutir à une prorogation de son mandat au-delà de novembre 2016.

A ce stade, les efforts du Facilitateur, appuyé par le Représentant spécial du Secrétaire général, M. Maman Sidikou, et l’Envoyé spécial pour la région des Grands Lacs, M. Saïd Djinnit, n’ont pas réussi à réconcilier les positions, a fait observer M. Eliasson.

En l’absence d’un dialogue inclusif, qui pourrait déboucher sur un large accord permettant d’organiser des élections présidentielle et législatives crédibles, il existe un risque réel de voir les acteurs politiques recourir à des décisions unilatérales qui risquent d’aggraver davantage les tensions actuelles, a averti le Vice-Secrétaire général. Cela risque de donner lieu à une crise grave, avec une forte probabilité de violences et d’une instabilité persistante.

Une telle issue, qui peut encore être évitée, viendrait non seulement saper les gains politiques, de sécurité et de développement enregistrés durant les dernières années, mais exigerait aussi une réponse au-delà des capacités de la MONUSCO, a poursuivi M. Eliasson, qui a attiré l’attention sur trois éléments susceptibles de venir appuyer un dialogue constructif.

Le Vice-Secrétaire général a d’abord estimé que le Groupe international de soutien à la facilitation récemment créé pourrait jouer un rôle important pour rétablir la confiance dans le processus de dialogue. M. Eliasson s’est ainsi félicité de la réunion inaugurale du Groupe, qui s’est tenue le 4 juillet à Addis-Abeba. Le groupe de soutien comprend des représentants de l’Union africaine, de l’Union européenne, de l’ONU –dont la MONUSCO-, de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) et de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs.

Ensuite, l’existence d’un registre électoral fiable pourrait aider à ouvrir la voie à des élections transparentes et équitables. La MONUSCO apporte une assistance technique et un soutien logistique à la révision du registre.

À la demande du Conseil, la MONUSCO a actualisé ses plans pour traiter des risques et suivre les violations et abus contre les droits de l’homme dans le contexte des élections. La protection des civils restent la priorité de la Mission, a ajouté M. Eliasson, qui a toutefois fait observer qu’en cas de crise politique et de sécurité majeure, il serait irréaliste d’attendre de la Mission qu’elle se substitue à l’État.

Par ailleurs, le Vice-Secrétaire général a rappelé que la situation en termes de sécurité restait très grave dans la région des Kivu. Il s’est dit particulièrement inquiet de la situation à Beni, où les Forces démocratiques alliées (ADF) ont attaqué tant les Forces armées de la RDC (FARDC) et la MONUSCO que des civils sans défense, ainsi que des tensions communautaires dans les zones de Lubero et Walikale. En revanche, il a jugé encourageante la reprise de la coopération entre les FARDC et la MONUSCO, avant d’estimer qu’en fin de compte, la menace que les différents groupes armés représentent ne pourra être traitée que par une combinaison de pression militaire et de mesures politiques.

Pour sa part, le représentant de la République démocratique du Congo, M. Ignace Gata Mavita, a reconnu que le processus électoral avait pris du retard. « Mon pays tient à l’organisation d’élections libres et respectueuses de tous les standards internationaux en matière d’inclusivité, de transparence et de crédibilité et cela dans un climat apaisé en vue de sauvegarder la paix chèrement acquise », a-t-il néanmoins déclaré. Cette détermination a été récemment réaffirmée par le Président Kabila, a rappelé le représentant, avant de préciser que le processus d’enregistrement sur les listes électorales avait été fixé pour ce mois de juillet. Soulignant l’importance d’un dialogue national politique inclusif pour surmonter les obstacles, M. Gata Mavita a souhaité que ce dialogue, qui « tire en longueur », soit avant tout « l’affaire des Congolais ».

M. Gata Mavita est ensuite revenu sur le point relatif au rétrécissement de l’espace politique. Toutes nos informations n’ont porté aucun résultat pour corriger la mauvaise perception véhiculée à ce sujet auprès de la communauté internationale, a-t-il regretté. Il s’est d’ailleurs demandé si ce manque d’informations objectives n’avait pas pour but de jeter gratuitement le discrédit sur les institutions congolaises. L’espace politique en RDC est le plus ouvert de toute la région, a-t-il assuré, en précisant que le pays comptait plus de 400 partis politiques et des centaines de stations et chaines privées de radio et de télévision. Plusieurs de ces chaînes, qui sont libres de fixer leur ligne éditoriale, appartiennent, a-t-il ajouté, à des membres de l’opposition. « Ces chaînes passent souvent le plus clair de leur temps à critiquer les institutions publiques et même le Chef de l’État », a-t-il relevé.

Jugeant les critiques injustifiées, M. Gata Mavita a rappelé que les libertés publiques devraient s’exercer conformément à la loi et dans le respect des exigences de l’ordre public. L’exercice des droits et libertés d’un individu, a-t-il dit, ne peut justifier que ce dernier défie impunément l’arsenal juridique protecteur des droits et de la sécurité de tous. « L’appartenance à l’opposition ou à la majorité ou à tout autre corps au sein du pays ne disculpe pas de sa responsabilité l’auteur d’une infraction de droit commun ».

Enfin, le représentant congolais s’est, lui aussi, félicité de la reprise de la coopération entre les FARDC et la MONUSCO dans le cadre de la lutte contre les forces négatives et les groupes armés. « Nous fondons l’espoir, a-t-il dit, que cette coopération permettra d’en finir rapidement avec les FDLR pour concentrer tous les efforts sur les ADF en vue de sécuriser complètement la région de Beni et les quelques localités qui souffrent encore de la présence des groupes armés ».


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BABAKAR @92LIICM   Message  - Publié le 12.07.2016 à 16:14
Finalement, qui est Congolais aux affaires de l'Etat?

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Alternance_voce @TFV72OX   Message  - Publié le 12.07.2016 à 14:23
Au revoir Mr Anonyme 12:14, pardon dit Raïssa KABIRHA de se retirer au pouvoir comme tu viens de faire ici. Au revoir Raïssa KABIRHA

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DBB @F3N8FCQ   Message  - Publié le 12.07.2016 à 13:25
KENGO EST UN RWANDAIS

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Anonyme @ELTGF4R   Message  - Publié le 12.07.2016 à 13:00
Pour avoir une transition apaisée, il faudra que Kabila illégitime le 19 décembre 2016, cesse d'être président en fonction, et que Kengo dirige la transition pour organiser les élections transparentes et crédible. L'agent causal de tous ces problèmes évoqués par monsieur Jan Eliasson, c'est la légitimité de monsieur Kabila après le 19 Décembre 2016. Si Kabila est patriote, il doit passer le bâton de commandement à Kengo président du SENAT pour l'intérêt supprime de la nation. Mais s'il va vouloir résister au pouvoir en s'appuyant sur les stratégies déjà dévoilées par Katumbi, et ben! il mettra le pays à feu et sang. Personne ne va plus vouloir voir Kabila président de ce pays après le 19/12/2016. Nous nous servirons de l'armement qu'il a acheté auprès des Nord Coréens pour tuer le peuple congolais enfin de le mettre hors de tout état de nuire. tout est déjà mis en place. Nous sommes prêt a en découdre pour sauver ce pays une fois pour toute. Fini l'impérialisme en RDC. Que vive la Démocratie, Que Vive la libération du peuple congolais. Adieux Kabila et tes petits chiens de chasse ( Boshabe, Mende, la cours institutionnelle, la cours...

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Mbecil No Nyama @HWJPSJ5   Message  - Publié le 12.07.2016 à 12:25
Bye bye M. Anonyme 12:14. Il n'y a plus de débat à faire. Tout est clair. 5 ans renouvelables un fois. Épuises, on tombe dans "l'empêchement définitif". Tu recours à la cour "corruptionnelle", nous recourons, nous aussi, à la cour constitutionnelle populaire. Les débats n'ont plus de raison d'être. Place à l'action, voilà tout.

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Mbecil No Nyama @HWJPSJ5   Message  - Publié le 12.07.2016 à 12:19
Je note avec satisfaction que le "dialogue" de Kabila n'intéresse personne. Il « n’a fait aucun progrès » a dit Son Excellence M. Jan Eliasson. Alors, tout ce qui reste à faire, c'est de déchirer la paperasse et droit à la poubelle. Si Dialogue il y aura, c'est dans 2277. Oboyi, on te "kanyama". Quand on est avec Ya Obama, qui sera contre nous? Le 31 juillet, on va aller accueillir Tshis et Moïse en "nko"!

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Albert Ilunga @KEEN5J3   Message  - Publié le 12.07.2016 à 12:14
Je voudrais juste exprimer ma déception sur le caractère moins scientifique et trop vulgaire de cet espace de débat qu'est"Média congo" En effet, au lieu d'un espace du vrai débat politique,il est devenu un lieu d'injures, des diatribes trop subjectifs. Ainsi,il n'est plus bon d'intervenir dans un espace où l'on ne cherche plus des pistes de solutions mais des reglements des comptes. Comme la parole de Dieu et la sagesse humaine nous recommandent d'éviter un débat d'orguelleux et haineux,je mets fin à mes interventions pertinentes et positives C'est trop terre à terre

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Mbecil No Nyama @HWJPSJ5   Message  - Publié le 12.07.2016 à 12:06
Merci ONU. Quand j'imagine que le 20 décembre, Kanambé redeviendra simple "population", plaisir qui est dedans, tu ne peux pas imaginer!

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Anonyme @SUSTZBD   Message  - Publié le 12.07.2016 à 10:47
M Gata Mavita c'est qui? Aza Rwandais aussi? Il fait parti des Menteurs Publics. Le Conseil de Sécurité de Nations Unies ne devrait pas lui faire confiance.

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Matang @39EYGYS   Message  - Publié le 12.07.2016 à 10:46
SCANDALE AUTOUR DU CADAVRE DE MALUMALU REPORTS répétés du rapatriement de la dépouille de Malumalu SELON des indiscrétions des stratèges de la KABILIE (ANR PG ,KIKAYA,Tante JAYNET etc ) veulent faire coïncider le rapatriement avec cérémonies funéraires AMPLIFIEES a dessein avec le retour de Tsisekedi et le meeting du 31 juillet afin de perturber ces deux évenements qui autrement vont attirer la liesse populaire avec des foules de millions de Kinois STOPP0NS TOUS cette macabre conspiration puante et nauséabonde

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Evangéliste Robert @7KOUIUM   Message  - Publié le 12.07.2016 à 10:43
Si le politique Majorité-Opposition ne veut pas le dialogue que le Président de la République ,étant le garant de la Nation puisse me nommer comme Premier Ministre pour former un Gouvernement des Technocrates sans les politiciens pour partager ces derniers aux Elections dans le délai constitutionnel. C'est possible si la CENI commence organise des élections couplées présidentielle, législatives et locales.

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Je suis RDC @4EJDR32   Message  - Publié le 12.07.2016 à 10:30
Le congo est malade d'AVOIR UN PRESIDENT FAIBLE, et il a plusieurs fois montré ses limites, pas des stratégies, pas des lignes de conduite, toujours réagir au lieu d'agir, plus des corruption et détournement Un président avec 15ans de pouvoir incapable même de tenir une conférence des presses ou une conférence dans les universités du pays , Donc on fait bcp de choses à sa place IL DOIT PARTIR, NOUS NE VOULONS PLUS UN ROI FENEANT.

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Alternance_voce @TFV72OX   Message  - Publié le 12.07.2016 à 10:26
Je m'adresse au congolais et non aux rwando-burundais, Tanzanien et consort. Chers compatriotes, si on laisse Raïssa KABIRHA le chemin, nous allons violé notre constitution à son Article 64. Alors pour ne pas la violé, SAUVONS LE CONGO que vive le KIMBUKU TU MBUKUTU, Au revoir Mr Raïssa KABIRHA, au revoir le Tshaku international, au revoir Les Menteurs publiques 19/12/2016

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Alternance_voce @TFV72OX   Message  - Publié le 12.07.2016 à 10:13
Le retard volontiers pour la tenue des élections. Le pouvoir par son langage nous a déjà clarifier qu'ils ne sont pas près pour l'alternance ... les manoeuvres dilatoire qu'ils font d'enrôlement est une grande distraction juste pour Glisser COMMENT UN GOUVERNEMENT QUI TRAITE SON BILAN DE POSITIF ET DE BIEN TRAVAILLER PEUT MANQUER LE MOYEN POUR LES Organiser les ELECTIONS dans le délais ??? c'est une grande trahison et les MP(menteurs publics) le paieras un jour. Tic tac tac tic Art 64

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ASSUMANI MUTEBA Jull @NUUN43A   Message  - Publié le 12.07.2016 à 09:58
DIALOGUER SUR QUOI ? KABILA et son groupe sont inculpés de la Haute trahison, et doivent répondre à leurs actes , raisonnons un peu KABILA N'EST PLUS CONCERNER AUX ÉLECTIONS quel qu'en soit le temps que cela va s'organiser mais comment lui qui est en-dehors de la chose va dialoguer??? soyons un peu réaliste ! IL A FREINER ET BLOQUER TOUT sans se rendre compte qu'il se met lui-même sous menottes lui voila lui même dans son piège hahahaha YEBELA ..

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solphej @SC5KAWE   Message  - Publié le 12.07.2016 à 09:24
À Mon humble avis,un dialogue s'avère impérieux et à l'allure où va le pays Je suis réaliste,l'incertitude pour l'organisation des élections cette année est réelle,au vu des déclarations du président de la CENI l'organe habilité pour ce faire et le bras de fer entre les opposants et la majorité,qui risque de sombrer le pays dans le K O Voici ma proposition aux acteurs politiques(M P et Opposants) de la RDC comme un citoyen congolais qui n'a aucune ambition politique mais ne veut pas que son cher pays sombre dans le désordre 1 Les politiciens doivent aller au dialogue et ceci à l'ordre du jour * Organisation des élections présidentielles et legislatives selon les termes de la CENI donc 16 mois d'enrolement du juillet 2016 au novembre 2017 Et comme ces resolutions du dialogue auront force de loi,au et auront la suprematie puisque s'agissant d'un volonté commune des représentants du peuple et; ces resolutions doivent être mises dans un instrument juridique pourqu'elles soient contraignantes,au terme duquel le non respect de ces résolutions donneront lieu à l'interim du président du senat à la présidence de la république C'est le dernier virage...

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ASSUMANI MUTEBA Jull @NUUN43A   Message  - Publié le 12.07.2016 à 07:59
POUR CE MOMENT C'EST KABILA ET SON SYSTEME SONT DES JONAS QUE LA RDC DOIT JETER DANS L'EAU AFIN QUE LA MARCHE S'AMELIORE voila le vrai palliatif que nous le peuple nous demandons à l'ONU apres KABILA et sa suite doivent répondre à tout les crimes et de la Haute trahison qu'ils ont commis en RDC.

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ASSUMANI MUTEBA Jull @NUUN43A   Message  - Publié le 12.07.2016 à 07:52
Comment un Mr tel que Mende parle d’ingérence d'autre nations et qu'il parle encore de ça ! (UN MALADE MENTAL, FLATTEUR ET PEUREUX) l'ONU doit dire à KABILA de dégager et c'est KANAMBE qui est entourer des vieux vautours, des vampires qui ont conduit MOBUTU dans bcp d'erreur et il est aller jusqu'à mourir sans gloire comme un avortons qu'on enterre et les voila à coté de KABILA faisant la même scène ; LA SEULE SOLUTION à cela KABILA DOIT DEGAGER car les élections ne lui intéressé pas donc il n'est plus concerner par celle-ci DIALOGUE NOUS DISONS OUI mais pas dans l'idée et balise que KABILA a tracé mais selon la résolution 2277

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Anonyme @EFOFFU1   Message  - Publié le 12.07.2016 à 06:24
Mr Eliasson, vous avez tellement raison, la communauté internationale joue un grand role dans notre pays et c'est honteux que nos dirigeants crient d'ingerance,quand on recoit des aides ils ne disent jamais INGERANCE, la meilleur de solution c'est d'organiser les elections cette année pour apaiser les tensions,ceux qui disent que les Congolais n'ont pas la culture des violences se trompent car tellement qu'on a trop souffert on est capable de mourrir,à tout moment les congolais quittent leur pays pour s'exiler ailleur afin de chercher une vie meilleur car on a rien chez nous de special,malgrè les tapages à de Telé:Congo EMERGENT, comment il sera EMERGENT avec toutes ces corruptions?evasions de fond pour construire dans d'autres pays?

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