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Infos congo - Actualités Congo - Premier-BET - 02 mai 2024
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Politique

Delly Sesanga : « Moïse Katumbi va rentrer déposer sa candidature »

2018-03-28
28.03.2018
2018-03-28
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Delly Sesanga

Et si Joseph Kabila respectait vraiment la Constitution congolaise et quittait le pouvoir à la fin de cette année ? Pour l'instant, c'est le pari de l'opposant en exil, Moïse Katumbi, qui vient de lancer le parti politique Ensemble pour le changement en vue de la présidentielle prévue officiellement le 23 décembre. Le député national Delly Sesanga est le tout nouveau secrétaire général d'Ensemble pour le changement. De passage à Paris, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.

Pourquoi cette plateforme Ensemble pour le changement, parce que cette fois vous y croyez, vous pensez que la présidentielle aura vraiment lieu à la fin de cette année ?

Delly Sesanga : Parce que nous pensons qu’elle doit avoir lieu et qu’il fallait donner corps à un programme, à une vision pour l’avenir et présenter cette candidature qui est celle de Moïse Katumbi pour la prochaine élection.

Donc quand le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, salue les progrès réalisés par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) en vue de l’achèvement de l’inscription sur les listes, a-t-il raison ?

Il y a eu des progrès sur la voie de l’organisation des élections au mois de décembre, mais ces progrès nécessitent encore une surveillance accrue de la part de tous parce que l’espace politique reste encore rétréci, la liberté de manifester n’est pas au rendez-vous et l’ensemble de mesures de décrispation qui ont été arrêtées ne sont pas encore effectives : le retour des exilés, la participation inclusive à cette élection, la libération des prisonniers politiques, notamment Jean-Claude Muyambo, Franck Diongo, Eugène Diomi Ndongala, qui sont encore en prison. Tout cela n’est pas encore réalisé comme cela a été entendu au niveau de l’accord de la Saint-Sylvestre 2016.

Mais le calendrier, lui, est respecté ?

Pour le moment, certaines étapes sont véritablement respectées. Nous avons encore d’autres étapes que nous devons valider. Il y a le nettoyage du fichier électoral qui doit se faire dans les règles les plus transparentes.

La Constitution interdit au président sortant de se représenter. Mais lors de sa conférence de presse du 26 janvier, Joseph Kabila a refusé de déclarer publiquement qu’il ne serait pas candidat à sa propre succession.

Pour nous, c’est une question de morale. Il devra le faire par correction à l’endroit du peuple congolais à ce moment-là. Nous avons réglé ce sujet avec la signature de l’Accord de la Saint-Sylvestre 2016. Nous nous sommes tous interdits d’envisager la révision de la Constitution, de changer de Constitution. A l’issue de ce second et dernier mandat, Joseph Kabila ne peut pas être candidat à sa propre succession.

Mais il reste que pour l’instant, il ne dit pas publiquement qu’il s’en ira en décembre prochain…

Cela aurait été souhaitable que Joseph Kabila puisse rassurer les uns et les autres, dire qu’il ne serait pas candidat à sa propre succession. Nous l’avons exigé, l’église catholique l’a exigé, le CLC [Comité laïc de coordination] l’a exigé. Nous continuons à l’exiger, mais nous n’en faisons pas un prérequis pour aller aux élections. Nous considérons que le cadre de l’Accord de la Saint-Sylvestre devrait suffire s’il est appliqué de bonne foi, pour aller à des élections auxquelles Joseph Kabila ne prendra pas part en tout état de cause, parce que la Constitution le lui interdit formellement.

Donc vous ne voyez pas d’entourloupe pour l’instant ?

Pour l’instant, on ne voit pas d’entourloupe.

L’autofinancement de cette présidentielle par les autorités congolaises, cela vous rassure ou cela vous inquiète ?

Si le gouvernement a les moyens de pouvoir réellement financer ces élections, pourquoi pas. Mais l’autofinancement cache plutôt une prédisposition insidieuse visant à exclure tout regard extérieur sur la crédibilité, la transparence du processus. Cela est préoccupant.

La diffusion de machines à voter sur tout le territoire en vue de décembre 2018. Qu’en pensez-vous ?

Nous avons dit clairement au président de la Ceni que ces machines à voter n’offraient pas de garanties de transparence, d’intégrité en ce qui concerne le vote à venir, et pourraient compliquer le scrutin plus qu’elles ne vont résoudre le problème. Donc nous sommes partisans d’un vote papier, comme nous l’avons fait en 2006 et en 2011.

Le 12 mars dernier, c’était en Afrique du Sud, Moïse Katumbi a lancé sa nouvelle plateforme en vue de la présidentielle de décembre. Mais il y a deux ans, en juin 2016, il a été condamné à trois ans de prison dans une affaire de spoliation immobilière. Il est en exil. S’il rentre, il risque la prison. Comment faire campagne quand on ne peut pas aller sur le terrain ?

C’est tout l’intérêt des mesures de décrispation que nous avons obtenues lors de la signature de l’Accord de la Saint-Sylvestre et pour lesquelles nous continuons d’exiger l’application effective. Cette affaire est une instrumentalisation de la justice. Cela a été établi. Nous regrettons fort qu’aujourd’hui on continue à utiliser cet argument contre Moïse Katumbi. Mais puisque cela résulte d’un engagement que nous avons pris de part et d’autre, la participation inclusive à ces élections est une des conditions de sa crédibilité. Si les acteurs majeurs ne peuvent pas participer à cette élection, alors cette élection ne sera pas libre.

Si le calendrier est respecté, les candidats présenteront leur dossier au mois de juin. Comment fera Moïse Katumbi s’il ne peut pas rentrer d’ici là ?

Moïse Katumbi va rentrer pour déposer sa candidature, quoi qu’il en soit. Pour ce qui est de la libération des prisonniers et du retour de ceux qui sont en exil, nous continuons de penser que ces mesures doivent prendre place au mois d’avril au plus tard. Donc le cas de Moïse Katumbi est couvert par ce volet-là.

Oui, mais si les autorités maintiennent leur position actuelle, c’est-à-dire la prison pour Moïse Katumbi, comment fera-t-il le jour où il rentrera au pays ?

Vous le verrez. Il rentrera au pays. La candidature sera déposée et il fera campagne comme tous les autres parce que c’est un citoyen comme tous les autres, et il n’a pas à souffrir de l’arbitraire du régime. Si aujourd’hui le CLC, d’autres groupes dans la société se sont mis à combattre le système, c’est pour éviter que cet arbitraire, cette discrimination ne puisse prendre place.

Le CLC, c’est le Comité laïc de coordination qui est proche de l’église catholique congolaise. Si Moïse Katumbi rentre, vous dites que ce sera en juin ? Quoi qu’il arrive, au mois de juin.

Au mois de juin parce que c’est là que nous devons affronter cette étape du calendrier électoral du dépôt de candidatures.

Et si cela ne marche pas, s’il se retrouve en prison. Est-ce que vous envisagez un autre candidat, un plan B ?

Pour le moment, je peux vous assurer que nous sommes sereins et rassurés sur le fait que Moïse Katumbi va pouvoir rentrer et sera candidat. Donc la question ne se pose pas pour nous.

Autre problème, c’est la nationalité de votre candidat. La semaine dernière, Jeune Afrique a publié le registre de l’état-civil de la ville italienne de San Vito dei Normanni, qui indique que Moïse Katumbi a eu la nationalité italienne pendant 17 ans, d’octobre 2000 à janvier 2017. Or la Constitution congolaise de 2006 interdit la double nationalité.

L’évolution sur cette question de la nationalité participe de cette stratégie d’exclusion. Donc je pense que cette affaire est assez mineure par rapport aux enjeux. Cette affaire est montée par les gens de la majorité dans le but d’éviter le débat sur l’absence de visions qu’ils ont aujourd’hui, l’absence de programmes, l’absence de candidat parce que nous sommes à 8 mois des élections bientôt et la majorité n’a toujours pas présenté de candidat. Au demeurant, nous mettons en garde les uns les autres sur le fait que ce dérapage sur la question de la nationalité est une pente glissante qui peut ramener le pays dans des souvenirs que nous ne voulons plus revivre. Rappelez-vous la « congolité » qui a été évoquée à l’endroit de Joseph Kabila lui-même, rappelez-vous de « l’ivoirité » qui a été utilisée en Côte d’Ivoire et la prise des armes.

Donc vous confirmez que Moïse Katumbi a eu la nationalité italienne pendant 17 ans ?

Je ne confirme pas que Moïse Katumbi a eu la nationalité italienne. Je dis tout simplement que l’utilisation de ce type d’insinuation grotesque peut nous amener sur une pente glissante sur laquelle nous ne voudrons pas verser notre pays.

Hier mardi, la justice congolaise a annoncé avoir ouvert une information judiciaire pour usurpation de nationalité contre Moïse Katumbi. « Comment voulez-vous qu'un individu se sachant de nationalité italienne puisse se présenter devant nos bureaux pour avoir le passeport, la carte d'électeur ? Tout ce temps qu'il a passé à la tête de la province (du Katanga), il se prévalait d'actes faux, de faux documents », a déclaré à la presse Flory Kabange Numbi, procureur général de la République (PGR) de la RDC. Comment réagissez-vous ?

Totalement excessif et dérisoire, cet acharnement obsessionnel du pouvoir à faire entrer Moïse Katumbi dans le spectre de l’action pénale. La quête effrénée du pouvoir à faire condamner Moïse Katumbi n’est pas surprenante. Elle justifie à elle seule, la fixité du parquet qui déplace toute question liée à Moïse Katumbi sur le terrain pénal.

Sauf qu’avec cette information judiciaire contre Moïse Katumbi, le parquet démontre, une fois de plus, son manque d’indépendance. C’est véritablement une justice aux ordres et instrumentalisée. A ce que je sache, Moïse Katumbi est Congolais d’origine. Il n’a pas été déchu de sa nationalité ! La démultiplication des procédures pénales contre Moïse Katumbi montre le manque d’assurance de la majorité dans ses propres stratégies de déstabilisation.

La position du parquet est d’autant plus suspecte qu’il s’agit d’un revirement inexpliqué en pareille matière. Comment le PGR explique-t-il sa position ? A ma connaissance, le PGR n’a pas ouvert par le passé, le moindre dossier contre ceux qui, en connaissance de cause, ont nommé des étrangers à des postes de responsabilité en violation de de la Constitution et la loi, ou contre ceux qui ont bénéficié de ces nominations. C’est en cela qu’en tout état de cause, il s’agit d’une énième initiative de déstabilisation, mue par la volonté politique d’exclure Moïse Katumbi à la prochaine élection présidentielle. Mais la ficelle est grosse, voire grossière !

Jusqu’à ces derniers jours, on croyait que Moïse Katumbi et Félix Tshisekedi feraient un ticket commun en vue de la présidentielle, mais l’UDPS de Félix Tshisekedi n’est pas dans la plateforme Ensemble pour le changement. Est-ce que c’est la rupture ?

Le Rassemblement était une coalition politique pour obtenir le respect de la Constitution, pour obtenir qu’à l’issue de ce second et dernier mandat, Joseph Kabila ne puisse être candidat à sa propre succession. Ces objectifs ont été partiellement atteints. Un cadre a été dressé avec l’Accord de la Saint-Sylvestre. Maintenant pour aller aux élections, le Rassemblement n’a jamais décidé d’être une plateforme électorale. J’ai cru comprendre que Félix Tshisekedi, à l’issue du congrès qui va avoir lieu dans les prochains jours, sera investi à la fois président de l’UDPS et candidat de son parti. On verra comment la dynamique va se définir sur le terrain, mais nous avons nous l’avantage d’avoir les équipes, d’avoir le projet, d’avoir un candidat. Et nous disons que cet ensemble, nous le proposons, nous le présentons au peuple congolais.

Donc Félix Tshisekedi, Martin Fayulu, les partisans de Jean-Pierre Bemba, Vital Kamerhe, Moïse Katumbi, chacun va être candidat dans son coin, chacun va attendre que l’autre trébuche ?

Non, nous ne sommes pas fermés à l’idée d’une candidature commune si jamais les discussions pouvaient y amener. Mais nous n’en faisons pas un prérequis pour pouvoir aller aux élections. Le rejet aujourd’hui, le bilan de 12 ans de Joseph Kabila et de sa majorité au pouvoir est tel que l’opposition ne peut que l’emporter, sauf s’il y a tricherie.

Mais il n’y aura qu’un seul tour. Est-ce que votre division ne va pas faire le jeu du candidat du parti au pouvoir ?

Il faut déjà que la majorité puisse avoir un candidat. Nous pensons que, s’ils n’ont pas de candidat, c’est parce que véritablement ils n’ont rien à dire au peuple congolais. J’ai vu leur dernière sortie à Kinshasa. Ils ont passé leur temps à parler de notre candidat. C’est une indication sur l’attente réelle que notre peuple a à l’endroit de cette candidature dans le cadre de Ensemble pour le changement.

Christophe Boisbouvier
RFI / MCN
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Dhesaba John @IDBDNOM   Message  - Publié le 30.03.2018 à 07:17
Très étonné par la situation, le même KATUMBU selon les rumeurs de la MP fut juif ensuite israëlien et aujourd'hui italien . Mais chose drôle comment un étranger pouvait être député évolué jusqu'a devenir gouverneur au sein de votre pays sans une dénonciation au préalable?Nous osons comprendre que la MP a bien compris qu'il a mal travaillé dans ce pays et critiqué sur tous les coin eu récoin du pays Moi,John Je déclare Ce Qui Suit:1)A la fin de mandat du pouvoir en place la disparition de PPRD comme fut le cas avec MPR de mobutu 2)la Vigilance de la part de la population en sachant que toutes candidatures de la MP sont contestées(ils sont des farceurs et c'est claire avec l'exemple 5 chantiers non réalisés,tracaseries polico-administratives se sont multipliées, )

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SKS @OJCKFWF   Message  - Publié le 29.03.2018 à 13:29
SESANGA en mal de positionnement après avoir quitté JPBEMBA et essayé avec ENVOL pense pouvoir réussir avec KATUMBI. Pour rester neutre, ke ne vois pas en quoi la MP est concernée par ces révélations de Jeune Afrique auxquelles la justice RDCongolaise a droit d'enqueter

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#YEBELA @ISMRW4X   Message  - Publié le 29.03.2018 à 00:11
Une question à Messieurs Shadary, Moba, Mende et consorts tous médiocres Pendant ces 10ans Moïse Katumbi a dirigé la riche province du Katanga en étant Italien ou congolais ? Si c'est en étant Italien, expliquez-nous comment un Italien peut être nommé gouverneur auCongo et c'est en étant congolais comment aujourd'hui il devient Italien ? La peur est dans votre camp, malgré votre machine à tricher vous continuez à vivre les cauchemars ? À bientôt il vient dans le champs de bataille exterminer tout le rwandais au pouvoir

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Kabamba @68XEB15   Message  - Publié le 28.03.2018 à 20:48
SI Jeune Afrique a publié le registre de l’état-civil de la ville italienne de San Vito dei Normanni, qui indique que Moïse Katumbi a eu la nationalité italienne pendant 17 ans, d’octobre 2000 à janvier 2017, pourquoi Moise lui-même n'y pose pas un démentis? "qui ne dit mot consent"; combien des fois vous nous avez dit que lUE était derrière nous, l'ITALIE et JEUNE AFRIQUE sont de l'UE que vous prétendiez nous dire être de notre coté pour chasser JKK du pouvoir, et aujourd'hui où en sommes nous? on est bien servi que par soi-même "TO LONGOLA ELIKYA NA POTO

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gomes @IQNKUTC   Message  - Publié le 28.03.2018 à 17:22
Papa JKK, c'est totalement triste cette façon d'agir! Si c'est comme-ça sa montre que la MP est toute etrangère, apartir de toi même! Quand tu l'a nommé Gouverneur tu ne savais pas de cette double nationalité que tu préleve aujourd'hui? Conclusion: EST UN GOUVERNEMENT D'ETRANGERS. Alors, degagez-vous, prennez vos sac et dehors de la RDC. C'EST LA VOIX DE DIEU

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Vérité @B98DWL1   Message  - Publié le 28.03.2018 à 17:17
Bien dit, Hon Delly. Nous vous soutenons, car tout l'espoir du peuple congolais dans "ENSEMBLE". Courage!

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VANITÉ DE VANITÉ @QNBY2F4   Message  - Publié le 28.03.2018 à 17:15
Les gens du Pprd passent leur temps à parler de Katumbi au lieu de présenté au peuple leur candidat ainsi que leur programme. c la preuve qu'ils n'ont rien à proposer âpres 17 ans d'échecs. Il faudra creuser plus de 1000 mètres pour voir les ruines de la révolutions de la modernité.

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kawasaki @8JMJEOW   Message  - Publié le 28.03.2018 à 17:11
Jckmzlo, ton PGR et JKK sont de la même famille politique et de la MP. Moïse K constitue un cauchemars pour la MP. Comment comprendrez-vous que Moïse K, gouverneur de la Katanga pendant 10 ans, il fut congolais, aujourd'hui pour avoir dévoiler son projet de société, il devient Italien? Et JKK a quelle nationalité papa? Même devant Dieu n'avez vous peur? Même si le monde vous applaudis afin d'avoir manacer les fils maison au détriment des étrangers, le Dieu vous chassera dans son royaume.

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Apathisme Michel @I21GPE6   Message  - Publié le 28.03.2018 à 17:03
un italien et marié d'une femme Rwandaise;pas question nous voulons un congolais de race noire en tête du pays

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Mampuya @GFNVXBG   Message  - Publié le 28.03.2018 à 17:00
Un reveur cronique. Katumbi ne va pas rentrer, voir plus rentrer par choix personnel, il y'a ce risque.

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Robespierre @QVALSR6   Message  - Publié le 28.03.2018 à 16:44
Chers compatriotes, Comprenez le langage de Sessanga. Qui veut la paix, prépares la gare Il ne faut pas qu'on nous accuse d'avoir privilégié la violence. Il y a un programme qui ne peut s'appliquer après des élections organisées par un pouvoir légitime. Tous, nous savons que le pays va vers une guerre civile dont les auteurs sont Kanambe & Alliance

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Musa @G14FZFF   Message  - Publié le 28.03.2018 à 16:33
Delly Sesanga, on ne va pas aux elections avec le DICTATEUR. Vous partez aux elections avec Joseph Kabila ou son DAUPHIN pour aller lui LEGIMITE' car vous connaissez cela que la PPRD ne vous donnera pas aucune chance de gagner les elections. Vous partez a ces ELECTIONS pour l'avantage de KABILIE et de montrer aux yeux de la communaute' international voila la PPRD a gagner. Muana ya zoba ba kosa ye mbala moko. Na 2006 ti 2011 Kabila akosi bino mais bozali kaka kozua mayele te. On vera qui va ganer ces elections le 23 decembre 2018. Pourqoi pas de suivre 'initiative de l'Eglise Catholique CLC de chasser Kabila et son gouvernement COLLABO et apres nous allons organiser les elections entre nous le peuple Congolais.

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Elie Du Jardin @SDBHZ4B   Message  - Publié le 28.03.2018 à 16:28
Delly Sessanga, désolé, tun dois encore rentrer à l'école, tu viens de decevoir toute une nation à vous entendre répondre aux questions de RFI Collabo des étrangers. Comment là où l'on devait en profiter pour tirer au claire cette question de double nationalité, vous apporter des cochonneries du genre le pouvoir a instrumentalisé? Est-ce ce même pouvoir qui travaille à l’état civil de la ville italienne de San Vito dei Normanni? Bande des médiocres et c'est avec cette bande que Monsengwo veut travailler.

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Notre Congo_Rdc @D354S4K   Message  - Publié le 28.03.2018 à 16:22
C'est bien de rêver mais la désolation sera totale, dans quelques jours. Personne ne lui refuse de déposer sa candidature mais qu'il soit tout simplement en ordre avec et la justice et la CENI Tout le monde sait que KATUMBI t'avais acheté avec une somme importante des billets verts, il y a de quoi à lui défendre, mais la justice dira son dernier mot. Le PGR lui demande de se défendre il doit le faire au pays et non en exile, c'est bien claire que l'eau de roche.

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AZARIAS RUBERWA @DQK5DYT   Message  - Publié le 28.03.2018 à 16:22
Bien dit monsieur DELLY, car si KABILA se croit plus congolais que notre fils du sang MOISE KATUMBI, haaaa la RDC glissera plus que la SIERRA LEONNE ou LIBERIA, et on verra lui l'imbécile de KABILA et sa suite comment ils s'en sortiront dans notre pays pour allé en exil, car le peuple n'aura point de pitié pour toute cette bande d'incivique de la MP KABILIE

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"Justice" ya mboka n @TYE1YEX   Message  - Publié le 28.03.2018 à 16:13
On ne cessera de se répéter la loi est la même pour tout le monde:si elle parle de la détention d'une nationalité exclusive ,on ne peut pas nommer des citoyens étrangers à des postes de responsabilité !

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Freud @OZLYZPD   Message  - Publié le 28.03.2018 à 16:11
AMP AU BORD D'ECLOSION

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Albert Ilunga @8559SO5   Message  - Publié le 28.03.2018 à 16:00
kie kie kie kie kie!

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Congo Hope @5VHBADK   Message  - Publié le 28.03.2018 à 15:48
OPPOSITION! SVP "L'union fait la force" Présenter nous un seul candidat et c'est tout. Vous recommencez avec les vieux démons des présidentielles 2011. A bon entendeur, salut!

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Anonyme @NY5VDP3   Message  - Publié le 28.03.2018 à 15:44
Bien dit Delly de gré ou de force, il sera candidat.

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