Il y a un mal qui ronge l’UDPS, lequel passe par AK, il s’appelle : l’égoïsme. Ce mal, s’est associé à l’opacité dans la gestion financière des rétrocessions de tous les élus du parti. Le tout puissant secrétaire général, lorsque vous tentez d’aborder la gestion financière du parti, lui et sa hiérarchie directe certes, font tout pour vous qualifier de LAMUKA, de FCC pour ne citer que ceux-là. Une façon de clouer la transparence dans l’obscurité !
Notre rédaction a reçu tant de doléances de la part des membres de l’UDPS. C’est pour cela, avons-nous compris que la vraie nature de l’homme apparaît quand il commence à palper l’argent. Si cet outil économique maîtrise une telle personne, il va gérer dans l’opacité les biens ou les finances communautaires. Sinon, comment comprendre que durant plus de 30 ans, toute l’organisation de l’UDPS a fonctionné que par des cotisations et aujourd’hui encore, elle continue à ainsi fonctionner ? Comment sont gérés les rétrocessions des élus du parti ?
Cette matière est un tabou. Le SG est le seul compétent à être au four et au moulin
Pourtant, ce parti reçoit des critiques par-ci, par-là. Pourquoi l’on ne mettrait pas à contribution les présidents des parlementaires débout par exemples, dans les chaînes de télévision pour ne serait-ce parler des réalisations de FATSHI ? Non, il n’y a pas d’argent ? Seuls AK et JMK savent réellement s’il n’y a pas d’argent pour payer les espaces dans les médias pour les présidents des parlementaires débout avec une ligne des conduites : « Ne parler que des réalisations de FATSHI ».
La moindre des choses, le tout puissant secrétaire général AK et son chef direct, le président a.i. du parti doivent comprendre que maintenant que l’UDPS est au pouvoir, les frais des fonctionnements mensuels, si petits soient-ils, doivent être votés dans toute transparence grâce aux rétrocessions opérées par les élus pour qu’ils arrivent aux présidents de cellules, de sections, de fédérations et autres en fonction des pourcentages ou clés de répartition déterminées préalablement en toute transparence.
Dans la vraie démocratie, il ne doit pas exister des sujets tabous.
Ces linges sales n’ont pu être lavés en famille. Sinon, ils ne seraient pas étalés en public. Si à l’époque du MPR, « servir et non se servir » était le slogan mais dans la pratique, la réalité était « se servir et non servir » exactement comme dans le régime passé. Alors, chers cadres du parti au pouvoir, avez-vous oublié qu’être cadre n’est pas un privilège ? Ayez la charge de partager équitablement ne serait-ce les frais de fonctionnement. Ce serait un petit signe que le parti est enfin au pouvoir que de ne compter que sur les cotisations des membres.
L’expérience nous enseigne en politiques lorsque le pouvoir est transparent, les élus sont altruistes à la communauté. Dans le cas contraire, les élus ou gestionnaires sont plus égoïstes. Ces gestionnaires, à l’instar de AK et JMK érigent des stratégies du genre : « vous faites le jeu de LAMUKA, de l’ENSEMBLE ou autres », juste pour intimider les collaborateurs à ne pas voir clair dans la gestion des finances du parti !
La source du livre ouvert dans ce dossier n’a pas hésité de nous dire : « Si j’ai décidé de vous glisser cet article parce que c’en est trop. Nous avons tenté de faire raisonner le SG AK de déléguer certaines tâches, de jouer la transparence dans la gestion financière ; toutes nos démarches sont restées vaines » alors, un clic a décidé de nous confier cet article, espérant atteindre la plus haute hiérarchie tout en espérant qu’il saura faire revenir à la raison AK qui à notre humble avis, ses pieds commencent à quitter la terre à cause des fonds du parti qu’il gère dans toute opacité et égoïsme.
Il est temps que cette approche soit corrigée avant qu’il ne soit tard …
Le conseil dit-on est à prendre ou à laisser.