Société
La Fondation Bill Clinton pour la paix (FBCP), en collaboration avec une vingtaine d’organisations de défense des droits de l’homme actives en RDC, a dénoncé « une justice de deux poids deux mesures » dans le dossier du détournement présumé de deniers publics dont est accusé Théophile Matondo, ancien directeur général intérimaire du Bureau central de coordination (BCECO).
Ce dernier est condamné à 10 ans de prison ferme par la Cour d'appel de Kinshasa-Gombe.
Au cours d'une conférence de presse tenue mercredi 3 novembre à Kinshasa sous le thème "Etat de droit et justice équitable en RDC'', ces ONG ont indiqué que les ouvrages, objet du marché public concerné, auraient été régulièrement réceptionnés par le gouvernement congolais en 2016, à l’entière satisfaction de toutes les parties prenantes (Primature, ministère de l’Energie, bureau conseil du gouvernement-Fichtner/Allemagne, et la SNEL).
Elles ont aussi relevé les cas de l’ancien ministre provincial de Kinshasa en charge des Finances, Guy Matondo, condamné à sept ans de prison ainsi que de l’ancien directeur de la police criminelle de la capitale congolaise, Jean-Pierre Masudi, condamné, lui aussi, à sept ans de prison.
Actuellement devant la Cour de cassation, le président de la Fondation Bill Clinton, Emmanuel Cole plaide pour l'acquittement de Théophile Matondo.
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